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Les membres d’Unifor de First Student Bus - qui fournit des services de transport scolaire aux écoles de langue anglaise et française de Cornwall et d’Embrun, en Ontario - ont récemment ratifié leur convention de quatre ans à 91 %.
« Félicitations au comité de négociation pour avoir tenu compte de la nécessité de maintenir les salaires à un niveau supérieur au taux d’inflation actuel, de sorte que nos membres soient mieux armés pour lutter contre l’augmentation du coût de la vie, a déclaré Lana Payne, présidente nationale d’Unifor.
Les chauffeuses et chauffeurs d’autobus scolaires font partie intégrante du système d’éducation publique et assument d’importantes responsabilités. Je suis ravie d’apprendre que cet accord permettra de faire avancer les choses pour eux. »
Les 65 membres de la section locale 4266 de First Student Cornwall travaillent principalement comme chauffeuses et chauffeurs, avec deux mécaniciens. La convention s’est conclue sans aucune concession et prévoit une augmentation de salaire de 15 % sur toute la durée de la convention, sur la base des acquis de l’année dernière.
Cette nouvelle entente prévoit une nouvelle classification des emplois, celle des personnes de métier qui effectuent des travaux de carrosserie et de réparation sur les autobus, mais qui ne sont pas des mécaniciens.
Le syndicat a également renouvelé sa lettre demandant à First Student de ne pas installer de caméras orientées vers les chauffeuses et chauffeurs dans les véhicules afin de protéger la vie privée, ce que l’entreprise a accepté.
Le libellé est également amélioré en ce qui concerne le temps de conduite rémunéré, car les conseils scolaires créent leurs itinéraires sur la base de Google Maps, sans tenir compte de la circulation.
« Grâce à cet accord, les chauffeuses et chauffeurs de First Student sont parmi les mieux payés de la région. Nos membres sont reconnus et rémunérés pour leur dur labeur », a déclaré André Desjardins, président de la section locale 4266 d'Unifor.
« Le libellé de cette convention contribuera à protéger les membres de manière considérable. »
M. Desjardins a ajouté que cette convention réduisait considérablement les temps morts, c’est-à-dire les périodes pendant lesquelles les chauffeuses et chauffeurs ne sont pas payés tant que les élèves ne sont pas montés dans le bus.
Unifor représente 20 000 membres dans le secteur du transport routier, dont plus de 2 000 chauffeuses et chauffeurs d’autobus scolaires.
Les membres d’Unifor de First Student Bus - qui fournit des services de transport scolaire aux écoles de langue anglaise et française de Cornwall et d’Embrun, en Ontario - ont récemment ratifié leur convention de quatre ans à 91 %.« Félicitations au comité de négociation pour avoir tenu compte de la nécessité de maintenir les salaires à un niveau supérieur au taux d’inflation actuel, de sorte que nos membres soient mieux armés pour lutter contre l’augmentation du coût de la vie, a déclaré Lana Payne, présidente nationale d’Unifor.
Les chauffeuses et chauffeurs d’autobus scolaires font partie intégrante du système d’éducation publique et assument d’importantes responsabilités. Je suis ravie d’apprendre que cet accord permettra de faire avancer les choses pour eux. »
Les 65 membres de la section locale 4266 de First Student Cornwall travaillent principalement comme chauffeuses et chauffeurs, avec deux mécaniciens. La convention s’est conclue sans aucune concession et prévoit une augmentation de salaire de 15 % sur toute la durée de la convention, sur la base des acquis de l’année dernière.
Cette nouvelle entente prévoit une nouvelle classification des emplois, celle des personnes de métier qui effectuent des travaux de carrosserie et de réparation sur les autobus, mais qui ne sont pas des mécaniciens.
Le syndicat a également renouvelé sa lettre demandant à First Student de ne pas installer de caméras orientées vers les chauffeuses et chauffeurs dans les véhicules afin de protéger la vie privée, ce que l’entreprise a accepté.
Le libellé est également amélioré en ce qui concerne le temps de conduite rémunéré, car les conseils scolaires créent leurs itinéraires sur la base de Google Maps, sans tenir compte de la circulation.
« Grâce à cet accord, les chauffeuses et chauffeurs de First Student sont parmi les mieux payés de la région. Nos membres sont reconnus et rémunérés pour leur dur labeur », a déclaré André Desjardins, président de la section locale 4266 d'Unifor.
« Le libellé de cette convention contribuera à protéger les membres de manière considérable. »
M. Desjardins a ajouté que cette convention réduisait considérablement les temps morts, c’est-à-dire les périodes pendant lesquelles les chauffeuses et chauffeurs ne sont pas payés tant que les élèves ne sont pas montés dans le bus.
Unifor représente 20 000 membres dans le secteur du transport routier, dont plus de 2 000 chauffeuses et chauffeurs d’autobus scolaires.
