Jerry Dias, président national d’Unifor, et Daniel Bernhard, directeur exécutif des Amis de la radiodiffusion canadienne
Aujourd'hui, le service de streaming Disney+ devient disponible au Canada, juste après Apple+, qui a été lancé le 1er novembre. Bon nombre de personnes célèbrent leur arrivée comme une aubaine pour les téléspectateurs canadiens : des centaines de nouvelles émissions, disponibles en tout temps et en tout lieu, pour moins de 9 $ par mois.
Nous ne sommes pas timides chez Unifor, et cela s'est certainement avéré vrai lors de l'élection fédérale du mois dernier.
En fait, nous avons fait exactement ce que nous avions dit que nous ferions, soit de jouer un rôle actif en veillant à ce que les conservateurs d'Andrew Scheer ne forment jamais le gouvernement et n'aient jamais l'occasion de revenir sur les politiques progressistes dont notre pays a besoin.
L'article d'opinion suivant a paru dans la section Report on Business du Globe and Mail du 17 juillet 2019.
Les prises de contrôle d'entreprises ne sont jamais idéales pour qui que ce soit, à l'exception peut-être des chefs d'entreprise qui sont à l'origine de ces opérations.
Pour le reste d'entre nous, des travailleurs au public, les prises de contrôle d'entreprises sont rarement le genre de choses que nous aimons voir.
TORONTO – Jerry Dias, président national d’Unifor, et Travis Hester, président-directeur général de General Motors Canada, feront une annonce importante ce matin concernant les activités à Oshawa.
C’est comme si leurs propres antécédents lamentables dans le dossier de la condition féminine et de l’égalité n’existaient pas tellement leur fausse indignation est frénétique.
Cette semaine, les députées conservatrices ont continué d’accuser le premier ministre Justin Trudeau d’être un « faux féministe », comme si elles se souciaient vraiment des féministes et de leur lutte pour l’égalité.
Croient-elles vraiment que les féministes vont voter pour elles ou qu’elles se laisseront berner par le faux féminisme du Parti conservateur?
Les gens de bonne conscience sont souvent en désaccord : ils l’ont toujours été et le seront toujours. Ce serait bien si nous pouvions trouver une façon de nous entendre sur le principal dossier de l’actualité, mais je ne retiendrai pas mon souffle.
Par Lana Payne, directrice de la région de l’Atlantique
Depuis près de 630 jours, 30 travailleuses et travailleurs de Gander, à Terre-Neuve-et-Labrador, ont été placés en lock-out par leur employeur américain D-J Composites.
Ils risquent de passer un troisième hiver et un troisième Noël sur la ligne de piquetage.
L’entreprise D-J Composites a été déclarée coupable à deux reprises d'avoir enfreint les lois du travail de la province, y compris d’avoir négocié de mauvaise foi.
Un pays, et sa culture, se distingue des autres par les histoires qu’il raconte à son propre sujet et à propos de sa place dans le monde.
Ces histoires sont racontées dans les livres et les magazines, à la télévision et au cinéma, par le journalisme en onde et dans la presse écrite, par la musique et le théâtre, et de biens d’autres manières.
Les bons journalistes posent des questions difficiles. Ils remettent en question ce que vous dites et vous avez intérêt à leur transmettre des faits exacts.
En réalité, des journalistes rigoureux m’obligent à mieux travailler et à mieux servir le public. Je sais que je dois être à la hauteur pour faire passer mon message. En me confrontant et en remettant en question d’autres choses aussi dans leurs reportages, les journalistes jouent un rôle inestimable. Leur travail est au cœur d’une démocratie en santé.
Or, tout le monde n'est pas d’accord avec ce fait.